Coton bio GOTS

  • Issu de l'agriculture biologique, respectueux de l’environnement, il évite le recours aux pesticides et aux engrais chimiques.
  • Il n’est pas génétiquement modifié
  • Il nécessite moins d’eau – tout notre coton est alimenté de façon naturelle, par l’eau de pluie ; sans aucun recours à une irrigation artificielle
  • Les fermiers bénéficient d’un prix de prestige pour le coton biologique et reçoivent une garantie d’achat.
  • Une rotation des cultures pour oxygéner la terre, la préserver et casser le cycle potentiel des maladies.
  • Amélioration de la santé des producteurs de coton et de leur famille : plus de vertiges, de troubles respiratoires, ou d’allergies.

Le coton conventionnel ? simplement trop néfaste

  • 2.4 % des surfaces cultivées de la planète pour 25 % des insecticides utilisés dans le monde
  • Un million de personnes intoxiquées par ces derniers et 20 000 morts chaque année.

Génocide OGM

Article de Andrew Malone, paru dans le Daily Mail, le 3 novembre 2008 (extraits)

On a promis à Shandakar comme à des millions d’autres paysans comme lui, des récoltes et des rentrées d’argent incroyables, s’il passait de la culture de semences traditionnelles à la culture de semences GM. Séduit par ces promesses de richesses futures, il a emprunté l’argent afin d’acheter des semences transgéniques. Mais les récoltes ne furent pas au rendez-vous et il se retrouva dans la spirale de l’endettement et sans revenu.

Shankara n’est qu’un de ces fermiers – on estime leur nombre à 125 000 - à se suicider à cause de cette offensive brutale qui utilise l’Inde comme champ d’essais pour OGM.

Cette crise appelée « Génocide OGM » par les militants a reçu un coup de projecteur lorsque récemment, le Prince Charles affirma que la question des OGM était « une question morale mondiale » et que le moment de mettre une fin à son avancée inexorable était venu.

Car même les chiffres officiels du Ministère Indien de l’Agriculture confirment que, dans un contexte de crise humanitaire immense, plus de 1000 paysans se suicident chaque mois.

Les semences de coton GM, garanties protégées contre les parasites, se sont révélées ne pas être les semences magiques promises, mais ont été infestées par le vers de la capsule, un parasite vorace.

Dans le passé, lorsqu’une récolte était mauvaise, les paysans pouvaient toujours conserver des graines et les replanter l’année suivante. Par contre cela n’est pas possible avec les semences GM qui contiennent la technologie « Terminator », ce qui signifie qu’elles ont été modifiées génétiquement afin que la plante ne puisse plus produire de semences viables.

De ce fait, les paysans doivent chaque année acheter de nouvelles semences au même prix exorbitant. Pour certains il s’agit là aussi de la différence entre la vie et la mort.

Traduction : C. Berdot pour les Amis de la Terre.